Membres

Stephanie Fox
Co-directrice du laboratoire

Professeure agrégée au département de communication de l'Université de Montréal.

Ses recherches visent à mieux comprendre comment les processus de communication façonnent et sont façonnés par les pratiques de collaborations interprofessionnelles.

 

Plus spécifiquement, Stephanie s’intéresse au rôle de la communication lors de collaborations interprofessionnelles en soins de santé, et ce, tant en soins de première ligne qu’en soins hospitaliers. Stephanie observe plus particulièrement comment les collaborateurs définissent des situations de soins et comment ces derniers naviguent à travers les multiples définitions qui émergent simultanément des différentes épistémologies professionnelles, de statut organisationnel et institutionnel, et des liens avec les patients. Elle s’intéresse également au rôle du patient ou du client dans le contexte des soins collaboratifs.
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Kirstie McAllum
Co-directrice du laboratoire

Professeure agrégée au département de communication de l'Université de Montréal.

Ses intérêts de recherche visent à mieux comprendre comment les membres d’une organisation, qui ne développent pas d’interactions régulières entre eux, en viennent à construire des sens distincts de leur travail.

Kirstie s’intéresse, en particulier, aux expériences et aux identités organisationnelles et occupationnelles de personnes occupant des espaces hybrides public-privé, tels des bénévoles ou encore, par exemple, des travailleurs qui sont employés et dirigés par un organisme, mais qui soignent des personnes âgées au sein de leur famille. Elle aimerait ainsi expliquer comment la multiplicité du sens peut être mobilisée comme ressource par des personnes évoluant à la périphérie des organisations. Kirstie examine également comment les processus communicationnels, qui créent des formes particulières de comportement collectif, facilitent et contraignent les divers types de participation organisationnelle.  En particulier, elle étudie comment les discours portant sur le professionnalisme ainsi que les mécanismes de coordination structurent la relationalité, augmentent la collaboration, et, fréquemment,  minimisent ou suppriment la contestation. Pour ce faire, elle analyse la construction de communautés de pratique, ce qui me permet d’examiner comment les membres d’une organisation décident entre eux de ce qui compte en matière de connaissances pour résoudre des problèmes organisationnels et de ce qui constitue des formes d’interaction appropriées.
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Mary Simpson
Professeure membre

Professeure agrégée à l'École de management et marketing de l'Université de Waikato.

Ses recherches se concentrent sur la participation des parties prenantes aux organisations et sur l'évolution de la composition des organisations ; la plupart de ses recherches se concentrant sur les personnes âgées (plus de 65 ans).

La thèse doctorale de Mary a porté sur les problèmes de communication associés aux organisations de villages de retraités et aux résidents de ces villages. Actuellement, elle explore la communication numérique et la citoyenneté en ligne en relation avec la communication intergénérationnelle. Ses intérêts de recherche l'ont conduit à travailler avec le Rauawaawa Kaumātua Charitable Trust (RKCT) en 2009, et à devenir un supporter à long terme du Trust. En 2011 et 2015, elle a collaboré à une présentation pour la journée Kingitanga à l'Université Waikato. En 2014, Mary a fait partie du groupe consultatif du Trust pour développer une stratégie de prévention du suicide pour Kaumātua. Depuis 2012, son rôle clé de soutien consiste à organiser une équipe de communication bénévole d'étudiants pour les Jeux olympiques de Kaumātua. Cet événement compte plus de 300 concurrents et 80 bénévoles.
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Pascale Caidor
Professeure membre

Pascale Caidor est professeure en communication stratégique à l’Université de Montréal ainsi que consultante en équité, diversité et inclusion (ÉDI). 

Dans le cadre de ses recherches, Pascale s’intéresse principalement à la relation entre les relations publiques et les différentes formes d'inégalité ainsi que leur impact sur la justice sociale.

Ses travaux veulent mettre en relief l’importance du rôle social des relations publiques pour la mise en place de mesures, de politiques et de programmes d’actions ayant pour objectif la défense des intérêts des communautés marginalisées. Parallèlement à son intérêt pour les relations publiques, elle mené des recherches sur les initiatives de changement axées sur l’équité, la diversité et l’inclusion dans les organisations. Outre son expérience en recherche, elle possède aussi une expérience pratique de la résolution d’enjeux de communication. Elle a occupé plusieurs postes dans le domaine des communications et de la gestion de projets en ÉDI.
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Marie-Ève Vautrin-Nadeau
Membre étudiante

Candidate au doctorat en communication à l’Université de Montréal et aspirante paire aidante en santé mentale.

Intéressée par l’organisation des soins et des services en santé mentale, Marie-Ève dédie sa démarche doctorale à l’étude des modalités de la mise en récit de l’expérience du trouble mental et du rétablissement, et à la compréhension de la posture de communicateur incarnée par des personnes utilisatrices. 

Se situant à la fois comme chercheure émergente et comme usagère de services en santé mentale, Marie-Ève combine son goût de l’observation, de l’écoute et de l’analyse à un fort souci d’engagement.
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Valérie Parent
Membre étudiante

Candidate au doctorat en communication à l'Université de Montréal.

L’ensemble de ses expériences témoigne de son engagement entier quant au sort des jeunes confiés à la Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ) : son choix de devenir psychoéducatrice, ses activités de recherche et maintenant sa recherche doctorale qui s’appuie sur des observations en centres de réadaptation de la jeunesse et sa volonté de contribuer à l’amélioration des connaissances et des pratiques dans ce domaine.

La perspective de recherche que Valérie privilégie veut permettre de rendre visible le travail fait par les différentes parties prenantes et révéler les complexités de la pratique réadaptative, vue de l’intérieur. Plus spécifiquement, dans son projet doctoral, elle entreprend un travail de reconceptualisation des pratiques réadaptatives qu’elle aborde comme pratique d’interaction pour examiner leur nature même. Elle s’intéresse donc à la façon dont les personnes professionnelles font ce qu'elles font au quotidien.
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Laura Ginoux
Membre étudiante

Candidate au doctorat et chargée de cours au département de communication de l'Université de Montréal.

Ses intérêts de recherche se situent au croisement de la communication en santé, des interactions interculturelles et de la collaboration organisationnelle.

Actuellement, Laura étudie les interactions et le partage de savoirs entre des personnes proches aidantes issues de groupes ethnoculturels minoritaires, des personnes âgées et le personnel en soin de santé. Laura s'intéresse aussi au conflit organisationnel, à la collaboration interprofessionnelle, à la gestion et l'organisation dans des contextes non lucratifs, et à la manière dont les émotions sont gérées dans des équipes de soin de santé. Ses choix méthodologiques s'alignent avec ses intérêts de recherche : elle souhaite développer une approche collaborative basée sur les intérêts des communautés.
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Babacar Cissé
Membre étudiant

Étudiant au doctorat en communication à l'Université de Montréal.

Ses recherches visent à mieux comprendre les efforts communautaires dans l’organisation des soins de santé dans certaines régions du Sénégal notamment dans la région de Kaffrine située au centre-ouest.

Babacar s’intéresse particulièrement à l’expérience des champs collectifs du village de Nguérane Fass. Il examine les questions suivantes : comment les villageois décident et mettent en œuvre cette forme de collaboration ? Comment les membres d’une communauté arrivent-ils à organiser une collaboration de cette envergure ? Quels sont les facteurs clés de succès de cette organisation ? Quelles formes communicationnelles traversent et structurent cette organisation ? Quel processus de communication ayant abouti à la constitution de cette collaboration communautaire ? Quelles sont les relations et les négociations nécessaires qui s’établissent entre les membres pour la constitution d’une telle forme de collaboration communautaire ? En quoi la communication permet-elle d’appréhender de la construction de cette collaboration communautaire ? Babacar s’intéresse également au rôle de la communication dans les établissements publics santé, à la communication sur l’itinéraire thérapeutique du patient et à la relation médecin-patient.
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Jacinthe Dupuis
Membre étudiante

Étudiante au doctorat en communication à l'Université de Montréal.

Léna Meyer
Membre étudiante

Étudiante au doctorat en communication à l'Université de Montréal.

Après un parcours académique en journalisme, c’est en rédigeant des articles en interne et pour des magazines d’entreprise que Léna a découvert un intérêt pour la communication en organisation.

Léna a par la suite entamé un DESS en communication organisationnelle puis une maitrise en communication, et poursuit maintenant des études doctorales. Ses expériences personnelles et familiales avec le milieu de la santé, de la sécurité sociale et de la promotion de la santé au travail l’ont orientée particulièrement vers la communication et la santé. Si on associe féminisme à cela, on retrouve alors son désir d’étudier et promouvoir plus encore le sujet de la santé des femmes, par et pour les femmes. Sa recherche se penche sur la collaboration interprofessionnelle dans les équipes médicales, avec pour point de départ la sage-femme, et le sens qu’elle fait de sa profession dans l’organisation de santé au Québec.
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Tanika Ferron-Ritchie
Membre étudiante

Étudiante à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal.

Ses intérêts de recherche portent sur la promotion de la santé mentale, et plus particulièrement sur les campagnes anti-stigma. Elle s’intéresse au lien qui existe entre la stigmatisation de la maladie mentale et les inégalités sociales de santé qui persistent au Canada.

Dans le cadre de son mémoire, Tanika tente de répondre à plusieurs questions : Comment la stigmatisation affecte-t-elle les inégalités sociales de santé ? Quelles sont les effets de campagnes anti-stigma sur les préconceptions du public en regard à la maladie mentale ? Quels messages sont utilisés dans ces campagnes, et comment sont-ils diffusés et reçus ? Pour répondre à ces questions, plusieurs concepts communicationnels sont centraux, tels que les « recovery narratives » et le modèle communicationnel de la stigmatisation de Smith (2007).
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Nathalia Wehbe
Membre étudiante

Étudiante à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal

Moudrikat Amadi
Membre étudiant

Étudiant à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal.

Camille Bernier
Membre étudiante

Étudiante à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal.

Caroline Dubois
Membre étudiante

Étudiante à la maitrise en sciences de la communication.

Joanie Morissette
Membre étudiante

Étudiante à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal.

Ses intérêts de recherche portent sur la communication pédagogique et l’inclusion des personnes en situation de handicap invisible comme le TDA/H et les troubles d’apprentissage en milieu universitaire.

Son expérience vécue avec le handicap a amené Joanie à vouloir comprendre comment les pratiques pédagogiques et éducatives sont vécues et perçues par les étudiant.e.s en situation de handicap de l’Université de Montréal. Au moyen de sa recherche de maîtrise, elle souhaite leur donner l’occasion de s’exprimer sur leurs réalités afin que leurs histoires puissent contribuer au développement de pratiques de communication pédagogique inclusives. Son projet s’inscrit aussi dans un désir de sensibilisation à la diversité des styles d’apprentissage et des profils au sein de la communauté étudiante.
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Natoa Arielle Paré
Membre étudiante

Étudiante à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal.

Ses recherches portent sur l’influence des réseaux sociaux dans la diffusion des normes et pratiques liées à l’hygiène intime féminine.

Dans sa recherche, Arielle explore comment les plateformes de réseaux sociaux amplifient certaines idées et comportements, en mettant en avant des contenus qui ne sont pas toujours basés sur des recommandations médicales fiables. Elle s’intéresse aussi aux dynamiques entre les stéréotypes, les attentes sociales et les pratiques de santé, en cherchant à comprendre comment ces influences façonnent les perceptions et comportements des femmes, notamment celles vivant dans des contextes de vulnérabilité ou d’inégalités d’accès à l’information.
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Mohamed Condetto Touré
Membre étudiant

Étudiant à la maîtrise en études internationales à l'Université de Montréal.

Il fait  actuellement un stage au Centre Communautaire de loisir Celo de la Côte des Neiges.

Ses intérêts de recherche tournent autour de l’intégration sociale et du rapprochement interculturel à travers le travail d’organisation, de communication, d’animation et d’évaluation dans le contexte d’immigration et de diversité culturelle.

Mohamed a travaillé plusieurs années avec les associations, les organisations non gouvernementales et les institutions internationales sur l’élaboration de la stratégie d’organisation et la mise en place des mécanismes de pilotage, de communication et la facilitation d’événements dans la conduite des projets et programmes en Afrique.
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Stéphan Soumah
Membre étudiante

Étudiante à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal et spécialiste en communication à l'Institut de la santé publique et des populations des Instituts de recherche en santé du Canada.

Ses intérêts de recherche portent sur la médecine narrative, en particulier sur son rôle en tant qu’outil de guérison pour les familles ayant perdu un enfant. Elle s’intéresse au rôle du récit dans la quête de sens et d’ordre dans le contexte de soin, ainsi qu'aux défis émotionnels liés à la perte, notamment le silence et le mutisme que vivent souvent les parents face à un système médical perçu comme froid.

Dans le cadre de sa recherche, Stéphan entreprend d’explorer comment la médecine narrative peut reconnaître et valider la douleur des parents en deuil, tout en favorisant un dialogue empathique entre soignants et soignés. Elle tente de répondre à plusieurs questions : Comment la médecine narrative peut-elle aider à reconnaître et à valider la douleur des parents en deuil ? Quel impact l’écoute des récits des patients a-t-elle sur le processus de soins ? Comment la médecine narrative peut-elle favoriser un dialogue empathique et une compréhension entre soignants et soignés ? Pour répondre à ces questions, elle s’appuie sur les travaux en médecine narrative, tout en explorant le concept de justice réparatrice et son rôle dans la reconnaissance de la douleur des familles.
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Vatosoa Malala RAZAFIMANDROSO
Membre étudiante

Étudiante à la maîtrise en sciences de la communication à l'Université de Montréal.

Vatosoa étudie la déstigmatisation des troubles mentaux chez les nouveaux arrivants au Canada et accorde une attention particulière aux immigrants, étudiants et travailleurs, en provenance de Madagascar.

Vatosoa conjugue cet intérêt avec la communication interculturelle, en examinant comment les interactions avec un contexte culturel différent influencent les perceptions des troubles mentaux et favorisent une meilleure compréhension de la santé mentale. En adoptant une approche qualitative, Vatosoa s'intéresse à la manière dont les normes sociales et culturelles façonnent les attitudes envers la santé mentale, tant dans le pays d'origine que dans le pays d’accueil.
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Jonathan Haxhe
Membre diplômé

Jonathan a toujours été partisan de la citation « un esprit sain dans un corps sain ». Il a eu l’occasion de remarquer sa justesse à plusieurs reprises, en observant sa propre alimentation et celle de ses collègues. Compte tenu de ce constat, il a décidé de dédier son mémoire de maîtrise à l’alimentation dans un contexte universitaire.

Dans le cadre universitaire, la communauté étudiante est souvent confrontée pour la première fois de sa vie au fait de devoir s’alimenter par ses propres moyens. Il est donc fréquent que les personnes étudiantes négligent leur alimentation, notamment du fait de leur manque de connaissances quant aux impacts d’une alimentation saine sur leur santé et leur bien-être. Quel rôle joue la communication dans la promotion de l’importance de la nutrition ? Comment communiquer efficacement des informations quant à la nutrition auprès de la communauté étudiante ?
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Isadora Lima De Branco
Membre diplômée
Audrey Duff
Membre diplômée

Audrey est présentement conseillère en communication au CIUSSS de l'Estrie.

Ses intérêts de recherche se concentrent principalement sur la communication dans le monde de la santé, plus précisément, sur la promotion de la santé mentale dans le milieu universitaire et la perception des étudiants et étudiantes sur l’impact de cette promotion.

John Patterson
Membre diplômé

John dirige depuis plus de 25 ans un cabinet de recherche en marketing et politique sociale. 

Pendant cette période, John a travaillé à la conception et à l’exécution de projets de recherche qualitative et quantitative pour des entreprises et des organismes gouvernementaux. Ses motivations pour faire une maîtrise étaient de voir son travail sous un nouveau jour et de perfectionner ses compétences. Au fil des ans, il a pu observer directement comment la recherche s’interface avec les organismes d’une myriade de façons complexes. Récemment, il a lancé un projet pilote avec une très petite communauté rurale afin d’explorer comment la recherche formelle sur l’opinion publique influence la compréhension qu’a la communauté de ses besoins, de ses priorités et de ses conflits, et comment la consultation communautaire modifie la compréhension qu’ont les citoyens et les élus de leurs rôles et responsabilités respectifs.
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Félix Bourget Careau
Membre diplômé

Félix est présentement agent de communication chez Parcs Canada.

Félix s’est toujours intéressé aux pratiques et aux idées qui visent à améliorer le vivre-ensemble. Passionné d’innovation sociale, il considère que la communication organisationnelle est un domaine essentiel pour aborder des enjeux émergents qui touchent à la justice sociale, à la collaboration et au conflit au travail.  

Ce champ d’intérêt a conduit Félix à porter une attention particulière aux formes d’organisation alternatives dans le cadre de mon mémoire de maîtrise. Ces organisations hybrides opèrent avec des systèmes dominants tout en cherchant à s’en émanciper. Cette position est propice à l’émergence de tensions entre des valeurs, des besoins et des idées de différentes origines. Des recherches qui connaissent un récent engouement observent que les tensions seraient au cœur de la performativité du caractère alternatif de ces organisations. Ainsi, il souhaite comprendre comment les membres vivent, énactent, gèrent et composent avec les tensions. Pour ce faire, l’analyse qualitative des tensions dans les interactions et les discours lui permet d’observer comment elles entrent en jeu de façon dynamique et contribuent à serrer ou relâcher le nœud d’autres groupes de tensions interconnectées.
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Zoé Lajeunesse
Membre diplômée

Zoé est présentement coordonnatrice des campagnes de communication stratégique au Ministère du Conseil exécutif du Québec.

Sa passion pour les arts et la culture ainsi que son intérêt marqué pour l’entrepreneuriat l’ont guidé vers un parcours bidisciplinaire en communication et en gestion.

À travers cette expérience académique édifiante, la complexité d’un environnement organisationnel est devenue apparente et surtout fascinante pour Zoé, lui procurant ainsi la motivation de faire de la communication organisationnelle l’un de ses champs de spécialité. Ayant toujours été captivée par l’humour de divertissement, c’est en approfondissant ses connaissances théoriques de cette discipline que son envie d’arrimer sa passion pour cet art – qu’elle associait autrefois strictement à la scène – avec la communication organisationnelle est né. Ses intérêts de recherche portent sur les effets générés par l’humour sur l’ordre social organisationnel ainsi que sur le rôle qu’y occupe ce phénomène. Au moyen de sa recherche de maîtrise, Zoé souhaite acquérir une meilleure compréhension de la culture humoristique (joking culture) et de la manière par laquelle cette dernière s’intègre au sein d’une organisation étant donné sa fonction inhérente de prévention des conflits.
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Marilou Migneault
Membre diplômée

Marilou est actuellement conseillère en communication chez Edgenda.

Un baccalauréat en sociologie et un parcours dans le système de la santé en parallèle ont fait naître un projet de recherche sur l’approche de la médecine narrative dans les universités à travers le monde.

Marilou croit fortement à la force d’une interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales et elle souhaite en faire preuve dans sa propre recherche. Pour son mémoire, elle s’est donc penchée sur le cas de la formation en communication des futurs médecins, particulièrement les étudiants de l’Université de Montréal. À l’aide d’une méthodologie qualitative, elle étudie l’expérience de différents acteurs de la Faculté de médecine pour dresser un portrait de l’enseignement et l’apprentissage de la communication en pédagogie médicale.
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Pareena Nogues
Membre diplômée

Pareena est actuellement coordonnatrice des communications chez Technoscience. 

Passionnée par la communication, le numérique, la sociabilité et de tempérament très empathique, Pareena a réalisé qu’il y avait une forte fracture intergénérationnelle dans les modes de communication, surtout lorsqu’il s’agit d’utiliser les supports numériques.

Lors des observations et des discussions qu’elle a pu entreprendre auprès de ses grands-parents, elle a pris conscience des difficultés qu’éprouvent les personnes aînées dans l’emploi d’un nouveau vocabulaire et dans la manipulation des tâches, notamment tactiles, qui caractérisent le numérique. C’est la raison pour laquelle elle a souhaité engager une réflexion et ainsi mettre en œuvre un projet visant à améliorer l’accessibilité des outils numériques, facilitant ainsi la vie des personnes aînées au quotidien grâce à l’aspect communicationnel.
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Manal Belcadi
Membre diplômée

Manal est actuellement coordonnatrice de comptes chez Kaiser & Associés.

Manal a commencé son parcours par un diplôme en communication et production médiatique. Cette expérience a déclenché une curiosité importante concernant la façon dont les contenus médiatiques transmettent des messages spécifiques.

Ayant commencé sa recherche durant une période critique pour la santé au niveau mondial, Manal s’est orientée vers les contenus médiatiques produits par les professionnels de la santé sur les réseaux sociaux. À travers cette recherche, elle tente de mieux comprendre les différents types de contenus concernant la santé sur ces plateformes, ainsi que les messages qui y sont rattachés.
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Andreia Seganfredo
Membre diplômée

Ses intérêts de recherche portent sur l’adaptation interculturelle et l’insertion d’immigrants dans le milieu de travail et dans la société d’accueil. Sa recherche vise à mieux comprendre comment les immigrants qui partent de Montréal pour s’installer en région s’adaptent dans leur première et deuxième destination et la relation entre ces deux processus d’adaptation.

Ce phénomène, connu dans la littérature sous le nom de migration secondaire, est largement étudié parmi les groupes de réfugiés et, dans la plupart des cas, à partir d’une approche quantitative. Pour apporter une nouvelle compréhension sur ce sujet, Andreia inclut d’autres groupes d’immigrants dans son étude et utilise un modèle communicationnel afin d’explorer ce type de déplacement sur le territoire du Québec.
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Geneviève Bélanger Villanueva
Membre diplômée

Geneviève est actuellement chargée des communications et aide au développement des affaires chez Retournzy.

Ses intérêts de recherches s’orientent vers les questions identitaires et culturelles. Dans son mémoire, elle porte un intérêt aux pratiques artistiques et particulièrement à la bachata, danse d’origine dominicaine qui a subi de multiples hybridations culturelles. 

De nouvelles pratiques vont émerger en même temps que l’apparition de ces nouvelles compositions culturelles. Hybridation, identité et culture sont les concepts clés de ses intérêts de recherche qui sont eux-mêmes issus de mon expérience au monde.
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Brian Velasco-Pena
Membre diplômé

Brian est actuellement conseiller en communication chez Développement économique Canada pour les régions du Québec.

Ses intérêts de recherche sont axés sur la communication organisationnelle, notamment aux interactions dans le contexte des organisations à but non-lucratif (OBNL) qui peuvent avoir des structures organisationnelles dynamiques mais conflictuelles.

D’un autre côté, Brian s’intéresse également aux contextes migratoires et comment, à travers l’immigration, les notions de culture et d’identité peuvent se reconfigurer. Ainsi, il étudie des phénomènes communicationnels en lien avec les identités biculturelles et hybrides. Par exemple, les jeunes issus de l’immigration, qui sont nés dans un certain contexte mais qui ont des parents immigrants, intègrent dans leur soi des repères culturels multiples et souvent très différents. Ces repères résultent de leurs propres expériences, mais aussi de celles de leurs parents. Comment peut-on donc comprendre leurs identités, compte tenu de la complexité de leur quotidien ?
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Solène Doutrelant
Membre diplômée

Solène est actuellement chargée de projet santé publique au Centre régional de coordination des dépistages des cancers d'Ile-de-France.

Nathalie Gesnot-Dimic
Membre diplômée

Nathalie est Senior Project Manager chez Osmose.

Dans son mémoire, elle a examiné les expériences des diplomates canadiens en affectation à l’étranger à travers le prisme conceptuel de la compétence en communication interculturelle (CCI).

Fille de diplomates, Nathalie a grandi en suivant ses parents dans leurs affectations à l’étranger, et, à l'époque, déménager dans un pays différent tous les quatre ou cinq ans lui paraissait normal. Ce n'est que bien plus tard qu'elle a commencé à contempler les difficultés liées à la vie à l'étranger en tant que diplomate. Son mémoire montre que les diplomates canadiens font face à des défis tant au niveau individuel qu'au niveau organisationnel. Ainsi, elle argumente que la CCI, qui avait été principalement conceptualisé dans la littérature scientifique comme un concept au niveau individuel, devrait être davantage théorisé au niveau organisationnel. Elle offre également des recommandations concrètes sur la façon dont Affaires mondiales Canada peut améliorer son soutien à ses employés en affectation.
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